
Dans une tribune libre, Teddy Smith, un fervent supporter de Samuel Eto’o, s’en prend à Ernest Obama et Jean Crépin Nyamsi, les accusant de tra hi son et de ne pas être cohérents dans leurs critiques envers l’exécutif de la Fecafoot. Smith estime que leurs positions sur deux sujets d’actualité sont contradictoires avec leur proximité avec Samuel Eto’o.
Découvrez ci-dessous sa tribune libre où il dénonce les positions d’Ernest Obama et de Jean Crépin Nyamsi
Ernest Obama : un prototype de la duplicité qu’il faut dénoncer
Par Teddy Smith
Il est des individus dont le parcours est marqué non pas par la loyauté ni par l’intégrité, mais par la trahison, la manipulation et l’opportunisme. Ernest Obama en est malheureusement un exemple frappant. Son nom revient sans cesse dans des affaires où se mêlent coups bas, intrigues et perfidie.
Il n’y a pas si longtemps encore, Bouba Ngomna le présentait à Samuel Eto’o comme « son petit ». Fort de cette proximité nouvellement acquise, Ernest Obama s’est rapidement illustré par des manœuvres souterraines, allant jusqu’à monter une cabale contre le journaliste de Canal 2, injustement écarté du cercle de confiance du Président de la FECAFOOT.
Mais ce n’était que le début du match. En deuxième mi-temps, il est allé encore plus loin, trahissant son propre coéquipier, Jean Bruno Tagne, qu’il a discrètement enregistré pour tenter de le disqualifier auprès du capitaine Samuel Eto’o. Une faute grave, une main volontaire dans la surface : une action indéfendable.
Pire encore, Ernest Obama a trahi son formateur, son mentor : AB. Un homme qui lui avait tout offert, depuis les premiers entraînements jusqu’aux grandes compétitions médiatiques. En retour, il n’a récolté que déloyauté et ingratitude. L’élève a piétiné le maillot du club qui l’avait formé, préférant les honneurs éphémères aux valeurs fondamentales.
Depuis qu’il a été sanctionné par un carton rouge définitif, l’exclusion du cercle rapproché du Président Samuel Eto’o, il s’est mué en saboteur, en joueur de l’ombre, ne cessant d’aligner les tacles médiatiques, les passes empoisonnées et les déclarations malveillantes à l’encontre de celui qu’il prétendait autrefois soutenir.
À ce sinistre tableau s’ajoute Jean Crépin Nyamsi, autre traître notoire. Telle une chouette tapie dans l’ombre du vestiaire, il observe, il critique, il trahit. Lui aussi a démontré qu’il ne joue pas pour l’équipe, mais contre elle. Ces personnages, semblables à des ultras infiltrés pour semer la discorde, doivent être bannis à vie du banc de touche de Samuel Eto’o. Car dans cette équipe, seuls les joueurs sincères et fidèles méritent de porter le brassard.
Un véritable Églisien, un authentique défenseur des valeurs d’unité, de loyauté et de vérité, ne peut en aucun cas soutenir ou fréquenter ces joueurs indisciplinés. Suivre leur contenu, c’est encourager la trahison ; relayer leur discours, c’est inscrire un but contre notre propre camp.
Traîtres un jour, traîtres toujours. Ernest Obama, Jean Crépin Nyamsi et tous ceux qui jouent en solo pour leur gloire personnelle n’ont plus leur place dans notre vestiaire. Pour la stabilité de notre équipe et la pérennité de notre vision, ils doivent être définitivement exclus du terrain.
Par Teddy Smith
NOTE de la Redaction de CIL
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